Notre R2 n’a pas tremblé ce dimanche matin, face à l’équipe de Beez de Didier Prinsen, malgré une mise en route un peu poussive.
Score final 73-51 au terme d’une prestation très collective où chacun a apporté sa contribution en défense comme en attaque, avec cinq joueurs à plus de dix points. On soulignera, comme le fait TV COM (voir le reportage dans l’émission « Gradins » en cliquant sur la photo; ça commence à 8’45), la belle prestation de Nicolas Croquet, un des représentants, avec Achille Tasiaux, de la classe biberon du Speedy. La relève des Vriamont, Dandoy et autres Max Lecat commence à éclore et ça, c’est exactement ce qu’on veut voir au Speedy!
Nous voilà arrimés à la première place de la R2B, aussi grâce au coup de pouce de nos voisins de Nivelles qui sont allés battre Belleflamme sur les hauteurs de Grivegnée. Il reste un match avant la trève, face à L’IATA à domicile, samedi prochain à 21h00. Attention au piège mais si nos gars reproduisent leurs deux dernières prestations, ça ira. Allez Speedy!
Speedy – Beez 73-51
Quarts temps: 18-11, 26-11, 14-11, 15-18.
SPEEDY MSG: Cachet 10, G. Vriamont 6, Croquet 6, lecat 4, Fontaine 0, Belalhoumi 11, J. Dandoy 10, Th. Vriamont 12, Tasaiaux 0, M. Dandoy 15.
BEEZ: Mathieu-Bonifaci 9, Prinsen 2, Debry 7, Wanet 10, Lamquet 4, Demars 8, Drioul 4, Germiat 5, Collin 2.
Beez débute en force et mène 0-7. Le Speedy se met enfin en action et revient à 9 partout avant de boucler ce premier quart avec déjà un avantage significatif (18-11). Dans la foulée, les Guibertins enfoncent définitivement le clou et virent avec 22 points d’avance à la pause (44-22). Les Guibertins se mettent ensuite à l’abri (58-33 à la 30e ). «L’écart était fait à la pause, constate Marc Van Peteghem du Speedy. Il a fallu le temps de se mettre en route mais une fois que nous avons pris la maîtrise du ballon nous ne l’avons plus lâchée. »
Du côté de Beez, le coach Didier Prinsen admettait la défaite. «On commence pourtant bien la partie mais dans le second quart, notre adversaire est en pleine réussite et on ne peut rien faire. Le score est sévère mais c’est normal, nous ratons beaucoup trop de lancers francs et nous commettons environ vingt pertes de balles. C’est beaucoup trop. »
Source: Pascal Jassogne (Vers L’avenir BW)