Les jeunes au panier : L’Ecole de Basket du Speedy dans la presse

Ecole de basket ProximagLes jeunes au panier: Article et photos de Michel Demeester sur l’Avenir.net ou dès ce mercredi 21 janvier dans le Proximag en page 12 (Cliquer ici).

« Le club de basket-ball Speedy Mont-Saint-Guibert aligne douze équipes en championnat, allant de la régionale 2 jusqu’aux prépoussins. «Dans certains groupes, notamment en minimes, nous avons deux équipes», signale Laurent Verhelle, responsable de U8, U10 et U12 au club.

Le club guibertin est l’un des plus importants, en nombre de jeunes, de la province. C’est le fruit d’un travail mené par les dirigeants. «Nous avons environ 140 joueurs actifs, dont environ 45 joueurs de 6 à 12 ans, 45 joueurs de 12 à 18 ans, 25 joueurs de 18 à 24 ans et 25 joueurs de plus de 24 ans. Pour atteindre nos objectifs de formation, nous cherchons à engager les meilleurs coaches possibles, tous diplômés Adeps et licenciés AWBB», explique Yves-Marie Léonet, le président du club.

Il y a quelques années, il n’y avait que très peu de «très petits» au Speedy. «Nous avons réussi à augmenter progressivement le nombre d’affiliés en U8 (prépoussins), U10 (poussins) et U12 (benjamins). Nous avons mis en place une structure spécifique pour ces catégories, qui constituent l’Ecole de Basket du Speedy. Elle est dirigée par Bernard Cretens, un formateur reconnu. Il est encadré par des entraîneurs du club, déjà diplômés ou en formation. Le but est de former des groupes de 12 à 15 joueurs par année d’âge dans ces catégories

Les dirigeants guibertins effectuent un travail de fond.

«Nous voulons enseigner aux plus jeunes, de manière ludique et en dehors de toute considération de compétition, les fondamentaux du basket-ball dans une perspective de formation à long terme: gestes de base, maniement de ballon, technique de shot, utilisation de l’espace-terrain. Ces joueurs ont un deuxième entraînement hebdomadaire, plus classique, avec l’entraîneur qui les coache en match, au cours duquel l’accent est mis sur le jeu collectif», explique encore le président. »